idée très originale et chouette de représenter par des tableaux abstraits la vision d'une petite fille sans ses lunettes. Mais pour le reste je ne comprends pas bien l'intention de l'auteur. Montrer que la petite fille préfère la vie sans lunettes, et nous faire penser que le deuxième oubli était intentionnel? Parceque c'est vrai que avec une vue aussi catastrophique comment est-ce possible qu'elle oublie ses lunettes et qu'elle ne se rende pas plus vite compte qu'elle ne les a pas dur le nez ? Et un papa qui ne se rend pas compte de tout le bazar qu'elle a fait avant son départ, comme si toute petite qu'elle est elle s'était préparée toute seule? C'est bien essayé et original mais pas fort crédible et donc pas si touchant que ça...
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J'ai lu du 26/08/2017 au 27/08/2017.
Une BD que j'ai emprunté au hasard dans ma médiathèque. Je vous l'accorde qu'en voyant le titre, j'étais curieuse. En fait, ce fut une totale déception. Je n'ai rien compris du tout à l'histoire et je trouve le dessin très bizarre. Cependant, je respecte le fait que cette dessinatrice a utilisé des crayons donc il y a différents outils employés. De plus, je respecte son travail. Cependant, les dialogues ou textes étaient très peu présents et le dessin un peu space à ce que je vois d'habitude et l'incompréhension totale du livre entraînent le fait que je n'ai pas particulièrement aimé ma lecture et que cela reste un j'ai lu.
Ma note : 6/10
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Dans la boutique d’Élisheva, qui est une fée je crois, on trouve tout ce qu’il faut pour remplir des pochettes-surprises. Vous ne savez pas comment on fait ? Rien de plus simple ! Prenez un papier, formez un cornet, et remplissez-le de petits trésors, secrets, trucs, bidules, tout est ok à condition que ce soit destiné à quelqu’un en particulier, et que ce soit fait avec humour et bienveillance. Pour votre chien, par exemple, une brosse à oreilles dans une pochette en forme d’os (entre autres, bien sûr), pour la brute de l’école, une boite à prouts dans une pochette sale et déchirée, pour Maman que des choses qui lui font plaisir et lui évoquent ce qu’elle aime. C’est aussi (et surtout, peut-être ?) l’occasion d’établir des listes, sortes d’inventaires à la Prévert où la poésie le dispute à la tendresse, le tout enrobé d’illustrations fourmillantes et colorées. Dès 4 ans.
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