On peut mourir au soleil comme partout, on peut souffrir sous le bleu, mais les gens auront toujours du mal à y croire. Ils penseront aux plages estivales sans entendre le chant des morts, celui de milliers d’immigrés arrivés par vagues de toute la Méditerranée, depuis les apôtres en goguette jusqu’à l’Aquarius.