Arrivée chez Masterkrep par hasard, innocemment, quoique non sans folie, me voici animée par la colère. Au départ, il y a eu le désir d’un travail rémunéré pour ce qu’il est, en contraste avec le métier d’artiste, dont la validation par la valeur est incertaine.
En effet, un livre vendu rapporte à son auteur, moins que le prix de revient d’une crêpe au sucre.
L’art est-il par essence engagé ?