La vérité, c’est que la mort de Bastien n’est rien censée changer, au fond. C’est silence sur silence, absence sur absence, carré blanc sur fond blanc. Fantôme, Bastien l’a été vivant. Si la mort crée du fantôme, la mort d’un fantôme, que peut-elle bien créer ? Rien du tout, j’imagine. » p 23 a 3