[...] je me dis qu'il aurait apprécié le spectacle des décombres terrifiants et du ciel débordant, la nuit où il perdit la vie. Il aurait pleuré, se serait retourné et aurait souri si seulement il avait pu contempler la voleuse de livres à quatre pattes auprès de son corps.. Il aurait été heureux de la voir baiser ses lèvres couvertes de poussière par la bombe.
Oui, je le sais.
Au fond de mon cœur enténébré, je le sais. Il aurait aimé.
Vous voyez ?
Même la Mort a un cœur.