Le philosophe qui court le monde pour s'instruire, doit s’accommoder de toutes les mœurs, de toutes les religions, de tous les temps,de tous les climats, de tous les lits, de toutes les nourritures, et de laisser aux voluptueux indolent de la capitale ses préjugés... son luxe... ce luxe indécent qui, ne contentant jamais les besoins réels, en crée chaque jour de factices aux dépens de la fortune et de la santé.