Pour certains, le curcuma était le safran du pauvre, mais pour Marjan, son rôle n'était pas simplement de donner au riz une teinte jaune. Cette épice, lorsqu'on la cuisinait avec la viande appropriée, apaisait les inflammations qu'on n'avait pas encore détectées et qui, laissées sans soin, pouvaient inaugurer une maladie.