Depuis le début de cette lettre, j’ai réfléchi à la violence. A la tienne, à la violence en général. Tu as réagi radicalement, entièrement, comme l’expression honnête de ce que tu es : un être capable de résister. Je te comprends mieux, d’autant plus que j’identifie cette violence en moi, par exemple, dans ma décision de m’isoler . Je ne frappe pas les gens, je les fais disparaitre.