Pierre Despignac a de nouveau disparu de notre paysage quotidien. Une bête pudeur m'empêche de m'enquérir de cette absence. Une fois de plus, je ne sais si c'est du lard ou du cochon. Plutôt du cochon, je crois. Alors, pour ne pas jeter de l'huile sur le feu, je reste dans l'expectative, pas encore sur le grill ! Mais le laisse traîner les oreilles.