Christine de Pizan écrit au XIVe siècle d'une place très singulière. Elle n'est ni noble ni religieuse. Marié, elle a des enfants et un ménage. La mort de son mari va orienter son destin. À sa disparition, elle choisit de se consacrer à l'étude, à l'écriture, et, chose inouïe pour une femme, d'en vivre.