Elle s’appuya contre l’encadrement de la porte pendant un instant, absorbée dans ses réflexions. Quel soulagement d’avoir quelqu’un avec qui partager enfin cette terrible inquiétude ! Elle attendrait un jour ou deux avant de s’épancher : « Maggie, dirait-elle, il faut que je te parle. Tu as raison, je me sens inquiète. Peut-être suis-je folle, ou seulement une vieille bonne femme stupide et méfiante, mais…