La potence se dressait devant moi et, face à cette affreuse réalité, je chancelai et me serais effondrée si le gouverneur et le sergent ne m'avaient retenue chacun par un bras. Debout à côté de cette structure de bois brut, je regardai autour de moi et aperçus une masse de gens d'environ quatre-vingts personnes. S'y trouvaient mes frères, des étudiants en toge, des professeurs de l'université, des marchands, des habitants de la ville...