"Les photos des jeunes pendus à des grues dans les rues de Téhéran paralysaient ses mains pour un instant et le coeur serré, il aspirait une longue bouffée de cigarette, soupirait, murmurait quelques vagues mots de désolation et reprenait sa déambulation somnambulique dans les cercles concentriques de la Toile, en passant d'un site à l'autre.
Je te répétais sans cesse d'arrêter ça, de ne plus regarder ces images choquantes et terrifiantes...
Tu me répondais que c'était la seule chose qui te restait , la seule chose qui restait de ton combat: "t'informer, rester Informé, Informer les Autres..".......