Nous avons fini par nous fatiguer de nous moquer de Violante. Aux récréations, elle se retrouvait simplement seule, simplement si l’on peut dire. Mais on aurait dit que c’était elle qui n’avait rien à nous dire. On aurait dit que c’était Violante qui jouait les princesses. On aurait dit qu’elle estimait que nous n’étions pas du même monde, et c’était un peu vrai.