Je pense à la jeune fille qui n’hésitait pas, en public, à s’asseoir sur mes genoux, à m’offrir ses lèvres pour des baisers à couper le souffle. Et elle me le coupait, le souffle, cette jeune fille rousse, avec son charme, son intelligence, ses désirs. Aujourd’hui, tu as toujours autant de charme, sinon plus, autant d’intelligence, sinon plus, mais tu n’as plus de désirs.