[...] dans la maison où j'ai grandi, on parlait tout le temps de Dieu. Et pas de grand-chose d'autre. A mon avis, tout ce en quoi je peux croire prend le contre-pied de ce dont on parlait chez moi, parce que je me répétais que ça ne tenait pas debout et je cherchais les failles. (p. 403)