Un îlot de brièveté dans un océan de longueurs. 52 pages, 42 poèmes qu'il vaut la peine de digérer et laisser fondre en bouche comme un caramel mou, sous peine sinon qu'il colle aux dents. Recherche à travers les grains – de sucre, de sable, de folie. Démonstration d'un certain art poétique, celui de la littérature très courte dont la présente critique ne sera probablement pas un exemple. Egrenons sans plus attendre ce doux sabliersucrier…
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