Il est beau, si beau que cela en devient effrayant. C’est peut-être bête de dire ça, mais il a l’air tout droit sorti d’un de ces films d’horreur où le méchant séduit la fille pour mieux la tuer. Je secoue la tête pour chasser ces pensées morbides. Gabriel n’est rien de tout ça. Il est gentil, quand il le veut, intelligent et drôle. Mon tiraillement entre ma raison et mon cœur ne peut être synonyme que d’une chose… Gabriel, ce garçon que je repousse tant, me plaît. Et je suis morte de trouille à l’idée d’être vulnérable.