Je n’ai jamais connu ma grand-mère paternelle, Lillian Josephine McCarthy, mais sa vie et sa triste mort prématurée à l’asile de Kew en 1924 ont été l’inspiration première de ce livre. Je le lui dédie, ainsi qu’à toutes les femmes, passées et présentes, qu’on a jugées « folles » alors qu’elles ne faisaient que réagir à ce qu’elles avaient vécu : une détresse et un chagrin intolérables et, trop souvent, des abus physiques et psychologiques.
Notre vie est meilleure aujourd’hui, à tant d’égards !