La Voie paraît extrêmement pauvre devant tout édifice, tout chemin tracé, tout savoir et toute somme. Elle dit trop peu, elle ne précise pas, elle est juste l'infime commencement. Elle n'est que l'ouverture. Elle n'est que la blessure de la semence d'où part et s'élève ce qui deviendra le grand arbre de vie, où chantent les oiseaux du ciel. Elle est nue comme la naissance.