Oui, glacer les gens d'effroi, les attirer dans le mal à force de leur faire craindre, c'est impressionnant, c'est une prouesse, mais c'est un drame sans lendemain. Il faut aussi que le mal vive, comprenez-vous, il faut que la maladie travaille dans la profondeur, lentement, sans fin, qu'elle ait le temps de transformer ce qu'elle touche, qu'elle fasse de chacun une tombe et que cette tombe reste ouverte. Il le faut ! C'est ainsi que s'infecte l'histoire.