Des cris stridents que je reconnus aussitôt : les apaches !
Il n’était pas encore 5 heures, la tribu avait avancé son retour. Surprise, surprise… C’est Marie-Cécile et le petit rouquin, sans doute un des rejetons de l’Ecossais, qui nous découvrirent au pageot. Décidemment, ces deux-là étaient toujours dans les mauvais coups ! Malgré ma demande de discrétion, puis les menaces que je proférai à leur encontre, ils ameutèrent le reste de la troupe. Trente secondes plus tard, ce sont dix garnements qui sautillaient sur le matelas, autour de nous.