Il en est de même du nom de Mme de Guermantes ; il donne du mystère à une dame qui n’en a guère ! Pour le narrateur, il ne suffit pas que les paroles qu’elle prononce soient « fines, belles et profondes », il est nécessaire qu’elles soient accompagnées en quelque sorte de leur musique, et de leur couleur, afin "qu’elles reflétassent cette couleur amarante de la dernière syllabe de son nom ».