Et l’angoisse me déchirait de ses griffes noires. Le temps d’un livre, j’avais été Mietek, puis Martin. J’avais défié la mort, et j’avais dénoncé ses carnages, exalté le courage de vivre.
J’avais peur qu’elle ne se venge, qu’elle ne me réserve le même sort que celui qu’elle avait choisi pour Martin.
Elle m’épargnerait et s’emparerait de ce que j’avais de plus cher.
Vie pour vie.