Le lendemain, au réveil, Johannes trouva son violon brisé au pied du lit. Il ne sut jamais qui avait fait cela. Il n’en parla jamais à personne, et pas davantage il ne chercha à trouver le coupable de ce crime. Il savait que la guerre finirait par le briser, lui aussi, comme elle l’avait fait pour son violon.