Sauf que ces portraits ne s’effaçaient jamais. Ils dérivaient en elle. Pourrissaient dans un recoin. Ils contribuaient à donner corps à ses peurs. Ils s’aggloméraient à ses tourments et constituaient des entités sournoises. Autant de voix pour lui chuchoter ce qu’il fallait comprendre des tueurs qu’elle étudiait que pour l’attirer vers le fond.