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Critiques de Maya Miyazaki (16)
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Minimum, tome 4

Nous retrouvons nos héros en plein chaos. La bataille entre Haru qui pour l’instant est de taille normale et Catherine, la mangeuse de donnée fait rage. Haru semble la plus faible et est en danger extrême mais l’issue de la rixe entre les deux jeunes femmes prend un virage inattendu. Catherine est sous le choc, inconsciente et son cœur ne bat plus alors qu’Haru a disparue. Ito la retrouve sous ses vêtement et de nouveau de petite taille. Saito, quant à lui, l’ami d’Ito et amant de Catherine, décide de reconduire cette dernière chez lui. Sa grande sœur Hakiru est là et l’aide à soigner Catherine qui s’est réveillée traumatisée par le combat. Haru décide alors de quitter la maison d’Ito pour ne pas le mettre en danger. Celui-ci ne s’en rend pas compte car il fleurette avec Maaya la jeune actrice qui tente de courtiser avec Ito…

Ce quatrième opus est certainement un épisode de transition entre le début et l’amorce de la fin de la série. Il est plein de surprises et parfois, semble incohérent. Dans le même temps, il distille des informations sur l’origine d’Haru bien qu’il nous laisse encore dans une relative inconnue. Les sentiments aussi semblent se déliter. Nous entrons dans une phase d’incertitude où la série, à mi-chemin doit créer pour nous, les lecteurs, un nouvel intérêt. Les personnages secondaires sont plus présents, un peu au sacrifice des personnages principaux et aussi de l’érotisme. Il y a aussi beaucoup moins d’humour dans ce quatrième tome, le ton se veut plus grave, plus dramatique. Par contre, l’arrivée de nouveaux personnages pimente le scénario et l’empêche de s’enliser dans la lassitude. Donc, un ouvrage charnière, à mi-course. Qu’elle direction va prendre ce manga, quelles surprises nous réserve t’il ? Je ne cache pas que c’est avec une certaine impatience que j’attends la suite. Ben tient ! Je me rends compte que je ne vous ai même pas parlé de la qualité des dessins. Ils sont très biens, le trait est égal aux tomes précédents, les filles sont très belles et l’auteure sait franchement dessiner de jolies poitrines aux héroïnes. Lu en version Kindle qui nous offre une très belle numérisation comme toujours avec l’éditeur Glénat.

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Minimum, tome 6

Nous retrouvons Ito dans une situation extrêmement délicate, dans une chambre d’hôtel, avec Maaya nue et aussi Haru qui vient de grandir et se retrouve dans le plus simple appareil. Pour en remettre une couche, dans un immeuble voisin, un paparazzi prend des photos de la scène car il piste Maaya qui est une star montante. Pendant ce temps, Waki, le journaliste continue d’enquêter sur le mystérieux site et cherche aussi pourquoi, dans le monde, des gens disparaissent dans la rue. Un nouveau phénomène mondial se produit également, d’étranges moisissures apparaissent un peu partout et ces moisissures qui ne le sont pas mais qui sont plutôt des nanoparticules génèrent une énergie qui brûle ceux qui malencontreusement les touches. Saito, quant à lui, est avec Catherine mais pour lui, les choses se compliquent, il semble fondre et disparaître. Waki, pour continuer son enquête, se connecte au jeu et alors, son ordinateur explose et une nouvelle jeune femme se matérialise…

Dans ce sixième épisode, tout avance à grand pas. Le pauvre Ito qui se retrouve dans une situation amoureuse entre Maaya, la star et Haru la fille qui rétrécit. Saito est en grand danger alors que Catherine, qui semblait insensible et profondément égoïste depuis sont apparition se montre très solidaire envers lui et affectée par son état. Waki, le journaliste n’est pas en reste et avance vers des découvertes invraisemblables et se retrouve lui aussi avec une fille qui sort de nulle part. Beaucoup d’information dans cet opus, peut-être trop, il me semble parfois confus. Tout arrive, les origines d’Haru et des autres filles, le monde et l’espèce humaine en danger à cause de ses inventions qui lui échappent. Chaque personnage à droit à son petit morceau d’apparition sans vraiment pouvoir conclure une action. Mais, l’épisode est l’avant dernier de cette série originale. C’est peut-être dommage que toutes les richesse et les informations que nous recevons dans ce tome soient concentrée dans un seul livre. Les dessins sont égaux aux épisodes précédents, les filles sont girondes à souhait et l’érotisme sert toujours de fil rouge a cette série atypique. J’attends le dernier opus, me demandant surtout comment notre pauvre Ito va pouvoir gérer ses amours pour Haru et Maaya.



Ito le héros,

Saito, son ami

Haru Nishikujo

Jun, la petite sœur

Hakiru la sœur de Saito

Maaya Uichimura actrice et amoureuse de Ito

Waki le journaliste

Ponsuké le petit homme

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Minimum, tome 7

Saito est coincé dans une décharge avec Catherine et tente de se reconstruire. En même temps, il tente d'apprendre à Catherine ce qu'est l'amour. Haru connait maintenant ses origines. Elle a été créée pour remplacer la vie d'une jeune fille invalide qui était tombée amoureuse d'Ito. Haru tente d'expliquer qui elle est vraiment à Ito mais ce dernier ne veut rien entendre, il se contente d'avouer son amour à la jeune fille qui vient de trouver le moyen de garder une taille normale. Mais le monde s'effondre. C'est le choc entre le monde réel et le monde virtuel. Nous sommes dans un scénario catastrophe grandiose. L'intelligence artificielle à décidé qu'elle était supérieure à l'humanité et tente de faire disparaître le monde réel pour devenir l'ultime sommet de l'évolution…



Dernier épisode de cette série érotico fantastique qui se veut, même si le fond est du déjà vu, originale par la façon d'aborder son sujet. Oui, c'est encore un choc entre le monde virtuel et le monde réel. Les créations de l'humanité risquent-elles de se rebeller contre elle ? Mais c'est sans compter qu'entre les deux mondes, l'amour et le désir peuvent empêcher le désastre. Une belle idée, l'amour qui sauve l'humanité. Les dessins sont fouillés, les filles jolies et aux formes généreuses. Les paysages urbains sont extrêmement réalistes et quand la catastrophe frappe le monde, la tempête est grandiose. Les sentiments des personnages sont aussi bien rendus grâce aux visages très expressifs. Dans cet ultime opus, tout s'accélère. le suspens est intense, la catastrophe s'amplifie alors qu'au début e la série, l'apparition de Haru paraissait un détail anodin, bénin. C'est la culture de l'effet papillon. Mais je vais éviter d'aller plus loin, pour ne pas spolier la fin de l'histoire qui est assez surprenante, voir déroutante. Pour terminer, j'ai lu cette série sur Kindle avec un iPad Pro de 12,7 pouces et, comme presque toujours quand Amazon et Glénat collaborent, ils nous offrent une très belle numérisation.

Quelques personnages :

Ito le héros,

Saito, son ami

Haru Nishikujo

Jun, la petite soeur

Hakiru la soeur de Saito

Maaya Uichimura actrice et amoureuse de Ito

Waki le journaliste

Ponsuké le petit homme

Manga, érotisme, science-fiction, fantastique

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Minimum, tome 2

Ito tente de s’occuper au mieux d’Haru sans que sa famille ne soit au courant de l’existence de la petite femme. Malgré ses précautions, son ami Saito apprend qu’Ito héberge un être humain de petite taille. En plus, il se rend compte que c’est une jolie fille. Quand Jun, la petite sœur de notre héros veut rentrer dans la chambre de se dernier, Saito la distrait pour l’en empêcher. Quand il rentre dans la chambre de son ami, il voit qu’Haru à repris sa taille normale. De retour chez lui, il en réfère à sa sœur qui est professeure d’université. Cette dernière travaille justement sur la théorie de l’existence de mini humains, qui serait liée à un jeu en ligne appelé le jeu de la mort. Haru fait un cauchemar prémonitoire dans lequel apparaît une femme qui, en embrassant les gens qu’elle croise, les fait disparaître. Ito, dans la rue, avec Haru dans sa poche, croise cette femme mystérieuse. Elle embrasse l’étudiant qui ne disparaît pas mais Haru reconnaît la prédatrice de son rêve…

Les dessins sont toujours de bonne qualité, constants au premier épisode. Le scénario devient plus complexe avec l’entrée de nouveaux personnages. Jusqu’à présent, nous étions dans une sorte de huis-clos entre Ito, Haru, Saito et accessoirement June. La sœur de Saito joue actuellement un rôle secondaire mais ses connaissances et ses recherches devraient prendre de l’importance dans la suite de l’histoire. Saito ne semble pas non plus anodin et en fin de l’épisode, la rencontre qu’il fait devrait offrir un tournant dans la série. Le mystère s’épaissi. L’érotisme est toujours présent, bien que de papier glacé. Il reste le fil rouge du manga. Il y a du suspens et il est difficile à l’heure actuelle de tenter de deviner où va nous mener l’intrigue. J’attends avec impatience le prochain épisode, il existe en papier mais je patienterai en attendant la version numérique.

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Minimum, tome 3

Saito, l’ami de notre héros, a découvert une jolie fille nue endormie dans les poubelles d’une rue. La fille est étrange. Elle se comporte comme si elle venait d’un autre monde. Très vite, elle séduit le jeune homme qui n’en espérait pas tant. Après avoir passé trois jours au lit ensemble, Saito emmène celle qui se fait appelée Catherine dans un restaurant mais, malgré qu’elle se plein d’avoir faim, elle ne mange rien. Dans la rue, elle embrasse un inconnu qui, devant les yeux ahuris de Saito, disparaît. Ce dernier veut en informer Ito qui, de son côté est fort occupé. Une jeune fille du lycée, qui est aussi actrice et mannequin, demande à notre héros pour sortir avec lui. Or, Haru, qui est de nouveau petite et qui était dans la poche d’Ito, a tout entendu et fait une crise de jalousie à ce dernier. Pour compliquer la situation, Jun, la petite sœur de notre héros, découvre l’existence de la jeune femme miniature. De bon cœur, elle décide de l’aider. Pendant ce temps, Catherine semble chercher Haru et se comporte comme une ennemie pour la jeune femme…

Ce troisième tome vient de paraître en version numérique. Comme pour les deux tomes précédents et comme c’est toujours le cas avec les numérisations des éditions Glénat, la numérisation est de très bonne qualité. Les dessins sont toujours magnifiques. La mangaka dessine merveilleusement les corps et les visages féminins. C’est érotique mais les dessins ne tombent jamais dans la pornographie. Le scénario est mystérieux, plein de suspens. L’érotisme n’est donc pas le thème principal de cette histoire même s’il est franchement présent. Il semblerait que l’origine des deux étranges filles soit virtuelle. Se seraient-elles perdues dans le monde réel ? En tout cas, elles bouleversent la vie des jeunes hommes et des familles de nos héros. L’une semble gentille, naïve, tendre malgré son mauvais caractère et l’autre semble extrêmement dangereuse. Ce troisième opus se termine de façon intense, brute, appelant le quatrième épisode qui, je l’espère, en version numérique, ne tardera pas trop à venir. Le scénario est prenant, le trait superbe, de quoi me passionner assez pour avoir l’envie de poursuivre cette emballante saga.

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Minimum, tome 2

Ito tente de s’occuper au mieux d’Haru sans que sa famille ne soit au courant de l’existence de la petite femme. Malgré ses précautions, son ami Saito apprend qu’Ito héberge un être humain de petite taille. En plus, il se rend compte que c’est une jolie fille. Quand Jun, la petite sœur de notre héros veut rentrer dans la chambre de se dernier, Saito la distrait pour l’en empêcher. Quand il rentre dans la chambre de son ami, il voit qu’Haru à repris sa taille normale. De retour chez lui, il en réfère à sa sœur qui est professeure d’université. Cette dernière travaille justement sur la théorie de l’existence de mini humains, qui serait liée à un jeu en ligne appelé le jeu de la mort. Haru fait un cauchemar prémonitoire dans lequel apparaît une femme qui, en embrassant les gens qu’elle croise, les fait disparaître. Ito, dans la rue, avec Haru dans sa poche, croise cette femme mystérieuse. Elle embrasse l’étudiant qui ne disparaît pas mais Haru reconnaît la prédatrice de son rêve…

Les dessins sont toujours de bonne qualité, constants au premier épisode. Le scénario devient plus complexe avec l’entrée de nouveaux personnages. Jusqu’à présent, nous étions dans une sorte de huis-clos entre Ito, Haru, Saito et accessoirement June. La sœur de Saito joue actuellement un rôle secondaire mais ses connaissances et ses recherches devraient prendre de l’importance dans la suite de l’histoire. Saito ne semble pas non plus anodin et en fin de l’épisode, la rencontre qu’il fait devrait offrir un tournant dans la série. Le mystère s’épaissi. L’érotisme est toujours présent, bien que de papier glacé. Il reste le fil rouge du manga. Il y a du suspens et il est difficile à l’heure actuelle de tenter de deviner où va nous mener l’intrigue. J’attends avec impatience le prochain épisode, il existe en papier mais je patienterai en attendant la version numérique.

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Minimum, tome 1

Ito est un jeune lycéen que les fille du lycée traite de puceau pervers. Complexé, il se replie sur lui-même, se passionne pour la macrophotographie et expose des cœurs de fleurs en gros plan. Il n’a qu’un ami, Saito qui lui, est obsédé par le sexe et les films pornographiques. Il pousse Ito à regarder un film pornographique mais ce dernier est fortement gêné. Il décide tout de même de faire des recherches sur internet. Il tombe sur un jeu érotique en ligne. Quand il tente de l’ouvrir, sa tour explose et surprise, du lecteur DVD sort une jolie fille nue de la taille d’une souris. Elle s’appelle Haru Nishikujo et ne sais pas ce qui lui arrive. Elle ordonne Ito de ne pas la regarder. Elle montre d’emblée son sale caractère. Ito ne sais que faire. Il se rend compte que ce n’est pas un petit animal mais bien un minuscule être humain. Il l’habille de son mouchoir. La nuit, Haru, toujours dévêtue, transie de froid, rentre dans le lit de notre héros endormi. Le matin, quand Ito s’éveille, il voit Haru, nue contre lui, qui a une taille humaine normale…

Je surveillais depuis un moment ce manga en espérant qu’il soit publié en version numérique. Glénat l’a fait. Leurs numérisations sont toujours de grande qualité, tant sur KINDLE que sur IZNEO. Les dessins sont de très belle facture. Les paysages comme les personnages. C’est un manga classé érotique, c’est même cette série qui ouvre la collection EROTIC de Glénat, consacrée aux manga du genre. Mais le scénario est riche et complexe. Les traits des caractères des personnages sont biens rendus, que se soit par le dessin ou le scénario. La fin de ce premier épisode nous promet une histoire pleine de suspens et de rebondissements. Il semble que l’apparition d’Haru ne soit pas anodine. Elle pourrait même être dangereuse pour l’avenir de notre héros. Le synopsis semble riche et complexe. Ce premier tome est une amorce de la saga, elle réserve sa part de mystère, obligeant le lecteur à poursuivre la série pour tenter de comprendre ce qui va s’y dérouler. Les deux héros sont-ils victimes d’un système. Il semble que la vie et les problèmes de taille d’Haru soient lié à un mystérieux personnage qui pourrait vivre dans les pays de l’est. Ce manga s’affiche d’emblée original et curieux, il me donne envie de le poursuivre. Il faut aussi avouer que l’érotisme est effectivement un fil rouge du récit et que l’auteure croque merveilleusement les corps féminins, sans jamais dépasser la frontière ténue qui sépare l’érotisme de la pornographie. En bref, ce manga dépasse l’érotisme pour nous offrir une histoire interpellante, mystérieuse et passionnante.

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Minimum, tome 1

Ito est un jeune lycéen que les fille du lycée traite de puceau pervers. Complexé, il se replie sur lui-même, se passionne pour la macrophotographie et expose des cœurs de fleurs en gros plan. Il n’a qu’un ami, Saito qui lui, est obsédé par le sexe et les films pornographiques. Il pousse Ito à regarder un film pornographique mais ce dernier est fortement gêné. Il décide tout de même de faire des recherches sur internet. Il tombe sur un jeu érotique en ligne. Quand il tente de l’ouvrir, sa tour explose et surprise, du lecteur DVD sort une jolie fille nue de la taille d’une souris. Elle s’appelle Haru Nishikujo et ne sais pas ce qui lui arrive. Elle ordonne Ito de ne pas la regarder. Elle montre d’emblée son sale caractère. Ito ne sais que faire. Il se rend compte que ce n’est pas un petit animal mais bien un minuscule être humain. Il l’habille de son mouchoir. La nuit, Haru, toujours dévêtue, transie de froid, rentre dans le lit de notre héros endormi. Le matin, quand Ito s’éveille, il voit Haru, nue contre lui, qui a une taille humaine normale…

Je surveillais depuis un moment ce manga en espérant qu’il soit publié en version numérique. Glénat l’a fait. Leurs numérisations sont toujours de grande qualité, tant sur KINDLE que sur IZNEO. Les dessins sont de très belle facture. Les paysages comme les personnages. C’est un manga classé érotique, c’est même cette série qui ouvre la collection EROTIC de Glénat, consacrée aux manga du genre. Mais le scénario est riche et complexe. Les traits des caractères des personnages sont biens rendus, que se soit par le dessin ou le scénario. La fin de ce premier épisode nous promet une histoire pleine de suspens et de rebondissements. Il semble que l’apparition d’Haru ne soit pas anodine. Elle pourrait même être dangereuse pour l’avenir de notre héros. Le synopsis semble riche et complexe. Ce premier tome est une amorce de la saga, elle réserve sa part de mystère, obligeant le lecteur à poursuivre la série pour tenter de comprendre ce qui va s’y dérouler. Les deux héros sont-ils victimes d’un système. Il semble que la vie et les problèmes de taille d’Haru soient lié à un mystérieux personnage qui pourrait vivre dans les pays de l’est. Ce manga s’affiche d’emblée original et curieux, il me donne envie de le poursuivre. Il faut aussi avouer que l’érotisme est effectivement un fil rouge du récit et que l’auteure croque merveilleusement les corps féminins, sans jamais dépasser la frontière ténue qui sépare l’érotisme de la pornographie. En bref, ce manga dépasse l’érotisme pour nous offrir une histoire interpellante, mystérieuse et passionnante.

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Minimum, tome 4

Nous retrouvons nos héros en plein chaos. La bataille entre Haru qui pour l’instant est de taille normale et Catherine, la mangeuse de donnée fait rage. Haru semble la plus faible et est en danger extrême mais l’issue de la rixe entre les deux jeunes femmes prend un virage inattendu. Catherine est sous le choc, inconsciente et son cœur ne bat plus alors qu’Haru a disparue. Ito la retrouve sous ses vêtement et de nouveau de petite taille. Saito, quant à lui, l’ami d’Ito et amant de Catherine, décide de reconduire cette dernière chez lui. Sa grande sœur Hakiru est là et l’aide à soigner Catherine qui s’est réveillée traumatisée par le combat. Haru décide alors de quitter la maison d’Ito pour ne pas le mettre en danger. Celui-ci ne s’en rend pas compte car il fleurette avec Maaya la jeune actrice qui tente de courtiser avec Ito…

Ce quatrième opus est certainement un épisode de transition entre le début et l’amorce de la fin de la série. Il est plein de surprises et parfois, semble incohérent. Dans le même temps, il distille des informations sur l’origine d’Haru bien qu’il nous laisse encore dans une relative inconnue. Les sentiments aussi semblent se déliter. Nous entrons dans une phase d’incertitude où la série, à mi-chemin doit créer pour nous, les lecteurs, un nouvel intérêt. Les personnages secondaires sont plus présents, un peu au sacrifice des personnages principaux et aussi de l’érotisme. Il y a aussi beaucoup moins d’humour dans ce quatrième tome, le ton se veut plus grave, plus dramatique. Par contre, l’arrivée de nouveaux personnages pimente le scénario et l’empêche de s’enliser dans la lassitude. Donc, un ouvrage charnière, à mi-course. Qu’elle direction va prendre ce manga, quelles surprises nous réserve t’il ? Je ne cache pas que c’est avec une certaine impatience que j’attends la suite. Ben tient ! Je me rends compte que je ne vous ai même pas parlé de la qualité des dessins. Ils sont très biens, le trait est égal aux tomes précédents, les filles sont très belles et l’auteure sait franchement dessiner de jolies poitrines aux héroïnes. Lu en version Kindle qui nous offre une très belle numérisation comme toujours avec l’éditeur Glénat.

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Minimum, tome 5

Ito retrouve enfin Haru. Elle est accompagnée d’un homme de petite taille comme elle. Il dit s’appeler Ponsuké. Il désire rencontrer Catherine en sachant que c’est une tueuse. Saito, quant à lui, en veut. À Haru car il pense qu’elle est responsable d’avoir effrayé Catherine au point que cette dernière s’en retrouve traumatisée. Pendant ce temps, la sœur de Saito avec son ami journaliste et obsédé, Waki, tente de percer le mystère de Catherine et du jeu en ligne d’où pourraient provenir les mystérieux personnages. Ito, fâché après Haru de sa disparition, lui avoue son amour. Il l’embrasse et le monde entier vit un bug informatique…

Ce cinquième épisode semble prendre une route plus dramatique et technique. Nous en apprenons de plus en plus sur l’origine des deux fille et du mini-homme. Le scénario semble quelque peu s’emmêler entre quiproquo et science-fiction. Le trait est constant. Les filles sont toujours aussi belles et les garçons niais. Le fil rouge semble parfois l’obsession de la gente masculine pour les gros seins et ça en devient parfois agaçant. Une histoire d’amour improbable semblerait naître entre les deux héros mais Ito n’est pas sorti de l’auberge car face à la jalousie de Haru, il y a toujours Maaya, la jeune actrice qui tente de le séduire. Le tome s’achève d’ailleurs sur une scène inattendue qui me rend impatient de découvrir l’avant dernier épisode de cette série qui compte sept tomes. Catherine aussi change de comportement. Guidée par le petit homme, elle semble surmonter son traumatisme et redevient plus que jamais dangereuse. J’ai de nouveau téléchargé cet opus sur Kindle et encore une fois, la collaboration avec les éditions Glénat nous offre une très belle numérisation.

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Minimum, tome 3

Saito, l’ami de notre héros, a découvert une jolie fille nue endormie dans les poubelles d’une rue. La fille est étrange. Elle se comporte comme si elle venait d’un autre monde. Très vite, elle séduit le jeune homme qui n’en espérait pas tant. Après avoir passé trois jours au lit ensemble, Saito emmène celle qui se fait appelée Catherine dans un restaurant mais, malgré qu’elle se plein d’avoir faim, elle ne mange rien. Dans la rue, elle embrasse un inconnu qui, devant les yeux ahuris de Saito, disparaît. Ce dernier veut en informer Ito qui, de son côté est fort occupé. Une jeune fille du lycée, qui est aussi actrice et mannequin, demande à notre héros pour sortir avec lui. Or, Haru, qui est de nouveau petite et qui était dans la poche d’Ito, a tout entendu et fait une crise de jalousie à ce dernier. Pour compliquer la situation, Jun, la petite sœur de notre héros, découvre l’existence de la jeune femme miniature. De bon cœur, elle décide de l’aider. Pendant ce temps, Catherine semble chercher Haru et se comporte comme une ennemie pour la jeune femme…

Ce troisième tome vient de paraître en version numérique. Comme pour les deux tomes précédents et comme c’est toujours le cas avec les numérisations des éditions Glénat, la numérisation est de très bonne qualité. Les dessins sont toujours magnifiques. La mangaka dessine merveilleusement les corps et les visages féminins. C’est érotique mais les dessins ne tombent jamais dans la pornographie. Le scénario est mystérieux, plein de suspens. L’érotisme n’est donc pas le thème principal de cette histoire même s’il est franchement présent. Il semblerait que l’origine des deux étranges filles soit virtuelle. Se seraient-elles perdues dans le monde réel ? En tout cas, elles bouleversent la vie des jeunes hommes et des familles de nos héros. L’une semble gentille, naïve, tendre malgré son mauvais caractère et l’autre semble extrêmement dangereuse. Ce troisième opus se termine de façon intense, brute, appelant le quatrième épisode qui, je l’espère, en version numérique, ne tardera pas trop à venir. Le scénario est prenant, le trait superbe, de quoi me passionner assez pour avoir l’envie de poursuivre cette emballante saga.

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Minimum, tome 5

Ito retrouve enfin Haru. Elle est accompagnée d’un homme de petite taille comme elle. Il dit s’appeler Ponsuké. Il désire rencontrer Catherine en sachant que c’est une tueuse. Saito, quant à lui, en veut. À Haru car il pense qu’elle est responsable d’avoir effrayé Catherine au point que cette dernière s’en retrouve traumatisée. Pendant ce temps, la sœur de Saito avec son ami journaliste et obsédé, Waki, tente de percer le mystère de Catherine et du jeu en ligne d’où pourraient provenir les mystérieux personnages. Ito, fâché après Haru de sa disparition, lui avoue son amour. Il l’embrasse et le monde entier vit un bug informatique…

Ce cinquième épisode semble prendre une route plus dramatique et technique. Nous en apprenons de plus en plus sur l’origine des deux fille et du mini-homme. Le scénario semble quelque peu s’emmêler entre quiproquo et science-fiction. Le trait est constant. Les filles sont toujours aussi belles et les garçons niais. Le fil rouge semble parfois l’obsession de la gente masculine pour les gros seins et ça en devient parfois agaçant. Une histoire d’amour improbable semblerait naître entre les deux héros mais Ito n’est pas sorti de l’auberge car face à la jalousie de Haru, il y a toujours Maaya, la jeune actrice qui tente de le séduire. Le tome s’achève d’ailleurs sur une scène inattendue qui me rend impatient de découvrir l’avant dernier épisode de cette série qui compte sept tomes. Catherine aussi change de comportement. Guidée par le petit homme, elle semble surmonter son traumatisme et redevient plus que jamais dangereuse. J’ai de nouveau téléchargé cet opus sur Kindle et encore une fois, la collaboration avec les éditions Glénat nous offre une très belle numérisation.

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Minimum, tome 3

Si le suspens reste complet et le lecteur bien accroché par cette histoire très prenante (au-delà de l’aspect érotique), il est à espérer que de vraies révélations vont poindre rapidement afin que le récit ne s’enlise pas.
Lien : http://www.bdencre.com/2014/..
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Minimum, tome 2

Niveau dessin, la qualité est toujours au rendez-vous. Des personnages harmonieux aux traits bien définis, un souci du détail appréciable. Ce tome voit également se développer les scènes dénudées, sans pour autant que cela prenne le pas sur l’histoire.
Lien : http://www.bdencre.com/2014/..
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Minimum, tome 1

Minimum inaugure la collection Erotic de Glénat, ce seinen est l'oeuvre de Maya Miyazaki qui, après avoir débuter sur des illustrations pour Playboy Japon, s'est consacré au manga érotique voir pornographique...
Lien : http://www.psychovision.net/..
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Minimum, tome 1

Un manga érotique soft dont l’intrigue prime sur la sexualité. A suivre !
Lien : http://www.bdencre.com/2014/..
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