(...) le rock passe par les garçons parce que ce qui est marrant et libre siège encore de leur côté. Il passe d'abord par les grands frères, simple question de géographie quotidienne. Ceux-là occupent une place qui nous est favorable : habitant dans la chambre d'à côté, nous entendons ce qu'ils écoutent à travers la cloison, grain sourd commué en ébruitement formidable quand ils ouvrent leur porte p.47