C’est la vie, et ça a continué comme ça pendant encore trois ans. Les proportions qui changeaient toutes seules, de travers, à merveille, des vacances, une fuite d’eau, des draps neufs, un anniversaire, un technicien entre neuf et quinze heures, un oiseau entré par la fenêtre, je veux mourir, pitié, je n’arrive plus à respirer, je crois que c’est un déjeuner, je t’aime, je n’en peux plus, nous qui pensions que ça serait comme ça jusqu’à la fin des temps.