D’abord, ouvrir les yeux. Mes paupières pèsent une tonne. Chercher une raison de me réveiller pleinement. Et la chercher longtemps.
Plus tard, assise au bord du matelas. En équilibre entre vertige et nausée. Tout mon corps proteste. Résister contre la voix qui m’appelle à l’oubli.
[extrait de « Miroir de porcelaine »]