Coucou Florence,
C’était sympa de te croiser en ville cet après-midi. Je suis désolé
d’avoir été distant, j’étais surpris, ça fait si longtemps. Et puis je
t’imaginais en train d’arpenter le globe pour sauver les populations
vulnérables. J’avais entendu dire que tu étais partie en Afrique pour
du bénévolat, et pas beaucoup de nouvelles depuis.
Tu as l’air en forme. Comment vas-tu ? Raconte-moi où tu en
es, ce que tu as fait en quatre ans. Enfin, si tu en as l’envie, bien
entendu.
Au plaisir de te lire,
Nic