On lui attribua la cabine n° 3, où elle pratiquerait des soins du visage, des massages et des épilations. Sa beauté, associée à sa discrétion et à son professionnalisme, la rendit très populaire, notamment pour les épilations. Elle ne fut pas longue à s'apercevoir que les Bogotanaises ne venaient jamais de leur propre chef pour se faire un maillot intégral. Mais parce que leur mari, leur fiancé ou leur amant leur avait demandé.