Dans leur quatrième semaine, les chatons devinrent plus sociables ; ils se mirent à grimper hors du carton pour explorer le reste de la pièce. Leur exhibitionnisme rempli de fierté m’amusait beaucoup ; j’adorais leur façon de s’inciter les uns les autres à se livrer des actes d’une dextérité acrobatique grandissante. Ils jouaient énergiquement pendant des heures, avant de s’endormir brusquement au beau milieu d’une activité, blottis les un