Je ramenai mes pieds sur le siège pour réfléchir à cette nouvelle théorie. J'adorais ça : m'accrocher à une idée que je pouvais ensuite décortiquer jusqu'à la fin des temps. Mon cerveau aimait passer en roue libre ; j'envisageais des thèses idéales et leurs antithèses, et une fois que j'étais lancée, il était difficile de m'arrêter.