c’était même le moment où je la détestais le plus. Parce que c’était là, maintenant, que j’avais le plus besoin d’elle, que je ressentais le plus son absence. Je sentis une force invisible me pousser vers elle, la réclamer à grands cris, parce que mon cœur avait besoin de paix, d’une sorte de trêve avec la douleur.