On se dit qu'il suffirait de déménager pour que tout aille mieux, ou de repeindre l'escalier et de vider les placards pour recouvrer un peu d'allant. On préfère s'accrocher à la moindre lueur d'espoir plutôt que d'admettre que quatre-vingt-quinze pour cent de notre univers n'existe que dans notre boîte crânienne.