Entendons-nous bien. Je n'ai rien contre la République, au contraire. Et je n'ai rien non plus contre le français en tant que langue commune. Je m'oppose simplement à ce que celui-ci devienne la langue unique d'un pays historiquement plurilingue, tout comme je m'opposerais à ce que, dans l'Union européenne, l'anglais (ou l'allemand, ou l'italien, ou le letton) fasse disparaître un jour les autres idiomes du Continent.