La vraie intelligence, celle du coeur, n’a rien à voir avec la fortune
ou le rang social. Il s’agit bien là d’un des messages portés avec obstination par Georges Bayard.
On le voit bien, a contrario, avec d’autres personnages de la série, négatifs ceux-là, qui alimentent les ragots ou les haines irraisonnées (et injustifiées !) contre les « étrangers ».
Certains citadins transplantés et argentés ou certains autochtones bien installés sont des exemples flagrants, et parfois même presque des caricatures, du mauvais esprit étriqué et sans envergure qui fait tant de mal dans la vie de tous les jours et dans le simple voisinage.