Celui qui traverse cette expérience de l’angoisse est confronté à ce dilemme : l’état de ce qu’il voit, dans ce qu’il croyait autrefois être son « moi » profond, lui apparaît désormais à la fois intime et étranger. Il a comme une répulsion par rapport à des attitudes liées à des traumatismes du passé, qu’il sait très pertinemment n’être que des conséquences, des blessures, et non pas son être véritable.