L’esprit (noûs) qui se tourne vers Dieu suspend toute conception et information sur la nature des êtres ; alors il contemple Dieu sans image ni forme et il éclaircit son regard dans l’inconnaissable suprême, liée à la gloire inaccessible. Il connaît qu’il ne connaît pas, car l’objet de sa contemplation est incompréhensible.
Et pourtant il connaît dans la vérité de Celui qui est par essence et qui seul possède ce qui dépasse l’être. (Théolepte de Philadelphie)
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