Cette mise à mort du moi que nous admettons, bien qu’avec réticence, comme possible dans la logique du monachisme, c’est-à-dire la mise à mort de l’identité que nous recevons tous dès notre naissance au monde et à ses valeurs, - disons-le maintenant clairement -, est en réalité demandé par le Christ pour l’ensemble des chrétiens.
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