Thoreau attaque les soldats, les militaires, les prêtres, les journalistes, les prédicateurs, l'école, l'Etat, l'Eglise, l'argent, les hommes politiques. Il écrit : "Je suis habité par des pensées de meurtre envers l'état et mon esprit ne peut s'empêcher de comploter contre lui". Mais il cueille un nénuphar et recouvre sa sérénité. (p. 103)