…Congrès pénitentiaire international de Stockholm en 1878...….Juristes, criminologues, élus, directeurs de prisons de l’ensemble du monde occidental s’interrogent sur ce qui peut pousser un délinquant à récidiver. L’influent juriste autrichien Wahlberg y affirme que chaque « perpétration tenace du même acte à de courts intervalles et à chaque occasion qui se présente » relève de « la pression physique et morale de la volonté dégénérée ». Il explique que « le délit d’habitude est l’expression d’une dépravation physique et morale fondée sur la vie précédente du criminel, et se maintenant dès lors avec ténacité ».