À l’époque, les cellulaires n’existaient pas. On avait des téléphones de police sur les poteaux, tous les deux ou trois coins de rue. Lors d’une arrestation, on traînait le détenu pour demander de l’aide. Pas besoin de vous dire qu’on devait avoir en tête la cartographie du réseau de communication pour être efficace. Il ne fallait pas laisser s’échapper le prisonnier. Bien sûr, le criminel, lui, avait intérêt à se débattre comme un forcené pour éviter d’être incarcéré.