En retournant tout cela dans ma tête, je me dis qu'il existe maintenant chez les indigènes une vaste fraction qui revendique la jouissance des mêmes droits que nous les Français ou Européens naturalisés venus de tant de pays, qu'ils ne vont pas tarder à profiter de la situation internationale dégradée depuis la déclaration de guerre. Ils vont rompre un jour avec la France si elle est incapable de leur donner in extremis satisfaction. Peut-être est-il déjà trop tard. (page 155)