Je sais maintenant pourquoi le pouvoir absolu du tyran finit toujours par le rendre absolument fou. C'est parce qu'il ne sait qu'en faire. Rien de plus cruel que ce désiquilibre entre un pouvoir-faire infini et un savoir-faire limité. À moins que lel destin ne fasse éclater les limites d'une imagination indigente, et ne viole une volonté vacillante.