Il existe donc dans ma vie des plages, des moments, des saccades, des soubresauts de quelque chose qui se rapprocherait du bonheur. Des intervalles de paix où je m’oublie, où j’oublie en tout cas mon corps pour me laisser aller à des instants de - oserais-je utiliser le mot ‘’félicité’’ – en tout cas de quiétude qui sont, je suppose et malgré l’aversion que j’ai pour l’expression, mieux que rien.