Il est temps d'arrêter avec des hypocrisies, et de préciser que, après être né de, on a été adopté par ; il est temps d'en finir avec l'obsession du conformisme, tu es comme tout le monde, nous sommes comme tout le monde, et de reconnaître la blessure que portent en eux les enfants adoptés. Une blessure qui, au moins peut cicatriser, mais ne disparaît pas.
Nommer la perte pour lui donner un sens.
Et alors seulement, repartir à zéro.