"[...] Chirac trahi, abandonné par les politiques et les médias, a conquis en sympathie, de 1993 à 1995, ce qu'il perdait en influence dans les sphères de l'Etat.
[...] Il a gagné en février, auprès des couches populaires - grâce au silence du candidat de gauche - la considération qu'il a perdue dans le même temps auprès de l'establishment politique."