Après, plus grande, je n'ai pas eu d'amies. Les seules femmes que je croisais étaient celles des copains de Mercier. Je n'avais pas de goût pour mes collègues de travail. On avait trop de mal à parler d'autre chose que de nos soucis ménagers. Nos vies semblaient identiques. Je n'avais pas le moindre plaisir à échanger mes tracasseries.